Lexique de la voile et les voiliers


Posted April 1, 2020 by Paul3256

Afin de comprendre et se faire comprendre à bord d’un voilier voici un bref dictionnaire de la voile et les voiliers avec les principales notions et termes marins. https://h-sails.com

 
A
à contre: placer une voile ou la barre, dans le sens opposé de la marche normale.
abattée : se dit quand le bateau abat.
abattre: le fait d’éloigner le bateau du lit du vent. Le contraire de lofer.
Abordage: collision volontaire ou non entre deux bateaux.
Accastillage: L’équipement de pont, du bateau servant aux manœuvres.
adonner : se dit du vent, quand celui ci à tendance à aller de l’avant vers l’arrière du bateau. Le vent adonne lorsqu’il devient plus favorable, par rapport à la route du voilier. Le contraire est refuser.
AIS: Système anti-collision permettant d’identifier les navires et donnant leur position, cap et vitesse.
aulofée : mouvement (spontané) d’un bateau qui lofe.
affaler : descendre une voile.
allure : angle de route du bateau, par rapport au vent.
amarres: bouts permettant d’amarrer un bateau au quai, ou à une bouée de mouillage.
amener: descendre une voile, voir un pavillon.
amer: Point remarquable, sur la côte permettant de calculer sa position.
amure : côté du bateau par lequel il reçoit le vent. On dit « bâbord amures », quand le vent vient de bâbord ; et « tribord amures », quand le vent vient de tribord.
ancre : équipement permettant d’immobiliser un bateau, en la mouillant au fond.
ardent : se dit d’un bateau qui a tendance, naturellement, ou pas, à se rapprocher du lit du vent.
ariser : Prendre un ris, ou plusieurs, dans une voile afin d’en réduire la surface.
artimon : L’artimon, est le mat le plus petit, et le plus en arrière, sur un Ketch, un bateau à deux mâts. La voile enverguée dessus porte le même nom.
au vent : côté du bateau se trouvant du côté du lit du vent, face au vent.

B
Balancine Cordage servant à soutenir la bôme quand la voile n’est pas hissée. Pour un tangon, on emploie aussi le terme hale-haut.
Barque Définit les navires à gréement carré dont le mât d’artimonporte une voilure aurique : trois-mâts barque, quatre-mâts barque.
Barre Roue ou timon agissant sur le gouvernail. Ce terme désigne aussi les vagues qui déferlent devant une côte.
Bassin Partie d’un port caractérisée par l’existence de quais. Bâtard d’un racage Bout de ligne sur laquelle sont enfilées les « pommes de racage », grosses perles permettant à une corne ou une vergue de mieux coulisser contre le mât.
Beaupré Sur un navire, mât prolongeant la proue d’un bateau, presque à l’horizontale. Lui-même est souvent prolongé par un bout-dehors.
Bôme Espar maintenant la bordure d’une voile. On emploie parfois le terme gui.
Bon plein Se dit d’un voilier qui se dirige contre le vent, mais à une allure plus abattue que le plus près, les voiles étant assez ouvertes pour privilégier la vitesse au cap.
Bonnette Elément de voilure qui, par beau temps, agrandit la voile d’origine.
Bord C’est le bateau lui-même (monter à bord) ou bien un côté de celui-ci : le bord au vent et le bord sous le vent.
Bordée On dit aussi un bord : tirer des bords. Chaque segment d’un louvoyage.
Border Emplir la voile de vent en tirant sur son écoute.
Bordés Planches longitudinales constituant la coque d’un bateau.
Bosse : Cordage servant à fixer les nouveaux points d’amure et d’écoute lorsqu’on arrise la voile. Par extension, désigne parfois un cordage assez fin et de petite longueur.
Bossoir Potence servant à mettre à l’eau une embarcation.
Bout-dehors : C’est le beaupré des petits bateaux, ou sa pièce terminale sur un navire.
Bouteilles Situées à l’arrière d’un vaisseau, ce sont les W.C. des officiers.
Bragues Cordages servant à freiner le recul d’un canon.
Bras Cordage ou câble servant à orienter une vergue dans le vent.
Brick Type de gréement comprenant deux mâts dotés de voiles carrées. Le brick-goélette porte gréement carré sur le mât avant, et aurique sur l’arrière.
Brigantine : Voile aurique placée sur le mât arrière d’un navire à voiles carrées.
Brise Désigne un vent maniable. Dans l’échelle de Beaufort, cela va de la très légère brise du degré 1, à la bonne brise de la force 5, en passant par la légère brise (force 2), petite brise (force 3) et la jolie brise (force 4).

C

Cabaner : Chavirer sans dessus dessous en parlant d'une embarcation.
Cabestan : Treuil vertical servant à actionner mécaniquement ou à bras les barbotins.
Cabillot : Chevilles en bois ou en métal qui traversent les râteliers et auxquelles on amarre les manœuvres courantes au pied des mâts ou en abord.
Câblot : Petit câble d'environ 100 mètres de longueur servant à mouiller les embarcations au moyen d'un grappin ou d'une petite ancre.
Cabotage: Navigation entre deux ports d'une même côte ou d'un même pays.
Cadènes : Ferrures en forme de chaîne allongée auxquelles étaient fixées, dans les bateaux à voile, les caps de mouton inférieurs des haubans. Elles étaient fixées à la muraille et en étaient écartées par les porte haubans accroissant ainsi l'épatement des haubans. On continue à appeler cadènes les pièces métalliques fixées à la coque pour servir de point d'attache aux haubans.
Caillebotis: treillis en bois amovible servant de parquet et laissant écouler l'eau.
Calfatage: Opération qui consiste à remplir d'étoupe, au moyen d'un ciseau et à coups de maillet, les coutures des bordages ou des ponts en bois d'un navire afin de les rendre étanches. L'étoupe est ensuite recouverte de brai.
Calier : Homme employé spécialement à la distribution de l'eau douce.
Caliorne: Gros et fort palan destiné aux manœuvres de force.
Cap de mouton: Morceau de bois plat et circulaire percé de trois ou quatre trous dans lesquels passent des rides pour raidir les haubans, galhaubans, etc...
Cape (à la): On dit qu'un navire est à la cape quand, par gros temps, il réduit sa voilure ou diminue la vitesse de sa machine en gouvernant de façon à faire le moins de route possible et à dériver le plus possible pour éviter les effets de la mer.
Capeler : Capeler un mât, c'est faire embrasser la tête du mât par toutes les manœuvres dormantes qui doivent entourer cette tête et s'y trouver réunies.
Capeyer: Tenir la cape.
Capon : Palan qui servait à hisser l'ancre sur les anciens navires (bossoirs de capon).
Carène: Partie immergée de la coque d'un navire.
Caréner (un navire) : nettoyer et peindre sa carène.
Cartahu : Cordage volant, sans affectation spéciale, destiné à hisser ou amener les objets qu'on y attache. Les cartahus de linge servent à mettre le linge au sec; ils se hissent parfois entre les mâts de corde.
Chadburn : Système mécanique employé pour transmettre les ordres de la passerelle aux machines (marine de commerce).
Chambre (d'embarcation) : partie libre, à l'arrière de l'embarcation où peuvent s'asseoir les passagers.
Chandeliers: Barres généralement en acier fixées verticalement en abord d'un pont, autour des panneaux et des passerelles pour empêcher les chutes. Les chandeliers sont percés de trous dans lesquels passent les tringles ou les filières de garde-corps.
Chapelle, Faire chapelle : se dit d'un navire qui, marchant, sous un vent favorable, vient à masquer par suite, d'une cause quelconque et est obligé de faire le tour pour reprendre les mêmes amures.
Charnier: Tonneau à couvercle, ayant généralement la forme d'un cône tronqué et dans lequel étaient conservés les viandes et les lards salés pour la consommation journalière de l'équipage (ancien). Par extension réservoir rempli d'eau potable.
Chasser (sur son ancre) : entraîner l'ancre par suite d'une tenue insuffisante de fond.
Château: Superstructure établie sur la partie centrale d'un pont supérieur et qui s'étend d'un côté à l'autre du navire.
Chatte : Grappin à patte sans oreilles dont on se sert pour draguer les câbles ou les objets tombés à la mer.
Chaumard : Pièce de guidage pour les amarres solidement fixées sur le pont dont toutes les parties présentent des arrondis pour éviter d'user ou de couper les filins.
Chaussette pour Spi : utilisée pour hisser ou affaler le Spi
Chèvre : Installation de trois mâtereaux réunis à leur tête pour les manœuvres de force.
Choquer : Filer ou lâcher un peu de cordage soumis à une tension.
Claire : Ancre haute et claire : ancre entièrement sortie de l'eau, ni surpattée, ni surjalée. On dira de même : manœuvre claire, pavillon clair.
Clan : Ensemble formé par un réa tournant dans une mortaise qui peut être pratiquée dans un bordage, une vergue ou un mât.
Clapot : Petites vagues nombreuses et serrées qui se heurtent en faisant un bruit particulier.
Clapotis : Etat de la mer qui clapote ou bruit de clapot.
Clin : Les bordages sont disposés à clin quand ils se recouvrent comme les ardoises d'un toit : embarcation à clins.
Clipper : Nom donné à un voilier fin de carène, spécialement construit pour donner une grande vitesse (clipper du thé, de la laine).
Coaltar: Goudron extrait de la houille (protège le bois de la pourriture).
Code Zero (voile) : Voile de portant, destinée à remonter au dessus du largue dans le petit temps.
Coffre : Grosse bouée servant à l'amarrage des navire sur une rade.
Connaissement : Document où sont consignés la nature, le poids et les marques des marchandises embarquées. Cette pièce est signée par le capitaine après réception des marchandises avec l'engagement de les remettre dans l'état où elles ont été reçues, au lieu de destination sauf périls et accidents de mer.
Conserve, Naviguer de conserve : naviguer ensemble (un bâtiment est ainsi "conserve" d'un autre).
Contre-bord (navire à) : Navire faisant une route de direction opposée à celle que l'on suit.
Coque : Boucle qui se forme dans les cordages.
Coqueron : Compartiment de la coque souvent voisine de l'étrave ou de l'étambot, servant e soute à matériel.
Corde : Ce mot n'est employé par les marins que pour désigner la corde de la cloche.
Cornaux : W-C. de l'équipage consistant en auges inclinées qui découlent dans les conduits aboutissant à la mer; les cornaux étaient autrefois placés à tribord et à bâbord sur le plancher de la poulaine.
Corps-morts : Chaînes et ancres disposées au fond de la mer, solidement retenues par des empennelages, et dont une branche qui part des la réunion des chaînes est nommée itague revient au-dessus de l'eau où elle est portée par un corps flottant (bouée ou coffre).
Coupée: Ouverture pratiquée dans les pavois ou dans le bastingage permettant l'entrée ou la sortie du bord.
Couples : Axes de charpente posés verticalement sur la quille;
Coursive : Terme général pour désigner des passages étroits tels que ceux qui peuvent se trouver entre des chambres ou autres distributions du navire.
Crachin : Pluie très fine. Crachiner.
Crapaud (d'amarrage) : forts crampons pris sur le fond et servant au mouillage des coffres et des grosses bouées.
Crépine : Tôle perforée placée à l'entrée d'un tuyautage pour arrêter les saletés.
Croisillon : Petite bitte en forme de croix.
Croupiat : Grelin de cordage quelconque servant à amarrer l'arrière d'un navire à un quai ou à un bâtiment voisin. Faire croupiat : appareiller le navire en s'aidant d'une amarre pour éviter le navire vers la sortie du port ou du bassin.
Cul : Fond, partie arrière, basse ou reculée, d'un objet.
Cul d'une poulie : partie de la caisse opposée au collet.
Cul de poule : arrière allongé et relevé.
Cul de porc : sorte de nœud.
Culer : En parlant d'un navire : marcher arrière en avant.

D
davier : pièce d’accastillage située sur l’avantt du bateau par où passe la chaîne de l’ancre.
Délaminage: Décollement des différentes peaux et matériaux composant les matériaux composites. Souvent suite à une infiltration d’eau. Rend la structure souple.
dérive : partie de la coque jouant le rôle de système anti dérive. Par opposition à la quille, la dérive n’est pas lestée et peut être relevée.
dessaler : lorsqu’un bateau chavire.
diamant : endroit ou se croise la verge et les pattes sur une ancre.
draille : élément du gréement dormant permettant de renforcer le mât. Le câble de la mi-hauteur, jusqu’à descendre vers l’étrave, On peut, éventuellement, y établir une trinquette.
drisse : élément du gréement courant, servant à hisser ou affaler une voile.

E
écoute : Bout qui permet de régler une voile.
Envoyer une voile : Hisser une voile.
empanner : par vent arrière, c’est le fait de changer d’amure.
enfourner : enfoncer la proue et l’avant du pont sous l’eau.
étai : élément du gréement dormant. Il soutient le mât sur l’avant.
étarquer : action de tendre fortement un bout. Raidir le côté d’une voile.
étrave : extrémité avant du voilier.
Espar : Pièces du gréement sur lesquels on établit la - voilure : mâts, vergues, bômes, cornes...

F
faseyer: Une voile fasseye quand elle flotte au vent, sans être bordée.
Ferler : Plier une voile contre un espar ou un pavillon sur lui-même.
Flèche Dans un gréement aurique, désigne le mât ou la voile établis au-dessus de la corne.
fuite : allure de sauvegarde au portant, utilisée par mauvais temps.
Foc : voile située à l’avant du mât.
ferler : plier une voile.

G
Galhauban : Hauban latéral pris en tête de mât.
Génois : voile d’avant plus grand que le foc, avec un recouvrement important de la grand-voile. Le génois peut être sur enrouleur.
Gennaker : voile d’avant intermédiaire, entre le génois et le spinnaker asymétrique.
gîte : inclinaison d’un voilier, sous l’effet du vent. Cela peut aussi être le cas quand le voilier est mal équilibré, de par les effets embarqués.
godille : aviron qui s’utilise depuis l’arrière du bateau, en faisant un mouvement en huit. Permet à un équipier, seul, de faire avancer un bateau.
grain: vent fort et de courte durée, accompagné de pluie ou de grêle.
Grand-voile : voile principale du navire, hissée à l’arrière du grand mât, et sur la bôme.
gréement courant: Partie mobile du gréement permettant d’envoyer et de régler la voilure.
gréement dormant: Partie fixe du gréement permettant de maintenir le mât.
guindeau : treuil permettant de remonter une ancre et la ligne de mouillage. Il peut être manuel ou électrique.
gouvernail : dispositif mobile permettant de diriger le bateau.
Guindant : Partie de la voile placée contre le mât ou l’étai.
Guindeau : Treuil dont l’axe est horizontal.

H
hale-bas : gréement courant permettant de maintenir la bôme ou un tangon vers le bas. Pour la bôme, il peut être constitué d’un palan.
hauban : câble faisant partie du gréement dormant d’un voilier. Il soutient le mât latéralement.
haler : tirer sur un câble.
hisser : monter une voile, une charge.
Hunier Pour un gréement carré, voile située au-dessus de la hune. Pour une goélette, voile carrée située au-dessus de la misaine.
L


I

J
jas : barre transversale d’une ancre, elle lui permet de crocher.
Jauge: Ensemble de règles précisant le cadre technique que doit respecter un voilier de course pour respecter une classe.

K
ketch : voilier à deux mâts constitué d’un grand mât, à l’avant, et d’un plus petit, à l’arrière, appelé mât d’artimon.

L
Lazy bag : protection de la grand voile
Lest: poids, situé au plus bas, permettant contre - balancer la gîte du voilier.
Ligne de flottaison: La ligne de flottaison est la limite de la surface de flottaison. Elle sépare les oeuvres vives des oeuvres mortes.
lit du vent :direction d’où vient le vent.
Lof : Brusque remontée dans le vent.
lofer : rapprocher l’axe du bateau du lit du vent. Le contraire est abattre.
Longueur hors tout: La plus grande longueur du bateau, comprenant les parties externes à la coque.
louvoyer : virer successivement de bord, au près, afin de remonter au vent.

M
Mille nautique: Unité de distance maritime égale à environ 1852 mètres.
mou : Un voilier est mou quand il a tendance à abattre.
Mouiller: Jeter l’ancre.
moustaches : permet de tenir, latéralement, le bout-dehors.

N
nœud : C’est l’unité de mesure de la vitesse utilisée en navigation. Un nœud correspond à un mille marin par heure, soit 1,852 kilomètre par heure.

O
œillet : petit trou en forme d’œil, pratiqué dans une voile. Il permet de passer une bosse ou une écoute.
orin : bout, attaché au diamant d’une ancre permettant de la faire décrocher plus facilement.

P
Pare-battage: bouées permettant de protéger la coque.
pataras : câble du gréement dormant d’un voilier. Il soutient le mât sur l’arrière.
passe-coque: Tube traversant la coque et permettant de positionner les capteurs des instruments de navigations, ou bien les prises et entrées d’eau de mer et les évacuations d’eaux usées.
piano: Ensemble des bloqueurs, situés dans le cockpit, sur le roof en général.
point d’amure: point bas avant d’une voile.
point de drisse: point haut d’une voile, qui permet de la hisser.
point d’écoute: point bas arrière d’une voile, qui permet de la border.
pont : plate-forme permettant de protéger l’intérieur d’un bateau. On peut circuler dessus.
poupe : partie arrière d’un bateau.
proue : partie avant d’un bateau.
près : allure permettant de remonter au vent.
près serré : allure au plus près du vent.
puits de dérive : logement dans la coque permettant de faire coulisser la dérive verticalement.
palan : ensemble de cordage et poulies permettant de démultiplier les efforts.
Perroquet : Voile carrée située au-dessus d’un hunier.

Q
quille : partie lestée, sous le voilier, qui permet de faire contre-poids. Dans le même temps, elle sert de plan anti-dérive. La quille peut être fixe, relevable voir pivotante.
quête: angle inférieur à 90° formé par le mât et la ligne de flottaison.

R
Ralingue : Renfort en cordage sur le côté d’une voile.
rappel : c’est l’action , pour l’équipage , de se mettre au vent, pour faire conserver une gîte raisonnable au bateau.
réa : partie mobile d’une poulie , ou s’enroule le bout.
refuser : contraire de adonner. Quand le vent a tendance à revenir de l’arrière vers l’avant.
ridoir: outil permettant de tendre et régler le gréement dormant.
ris : système de réduction de la voilure.
roulis : mouvement transversal du bateau.

S
safran : partie immergée et pivotante du gouvernail permettant d’orienter le bateau.
sillage: Trace laissée par un bateau, sur l’eau, quand il avance.
Solent : Voile d’avant, petit foc.
Spinnaker : grande voile d’avant, creuse, sans guindant. Utilisée aux allures portantes.
Spi : diminutif de « spinnaker ».
sous-barbe : cable maintenant le bout-dehors horizontale, et dans l’axe du voilier.
sous le vent : partie du bateau se trouvant du côté opposé au lit du vent.

T
talonner : toucher le fond de la mer avec la quille du bateau.
tangage : mouvement longitudinal d’un bateau.
tangon : espar utilisé pour tenir écartée une voile (foc, trinquette, spi).
Taud de grand voile : protection pour la GV
Tourmentin : Très petit foc utilisé dans le mauvais temps.
traînards : aussières traînant dans l’eau afin de réduire la vitesse du bateau, sur l’eau, à l’allure de fuite.
tribord : côté droit du bateau, en regardant vers l’avant.
Tribord amures: Un voilier tribord amures reçoit le vent par la droite du navire.
Toile : Désigne la voilure. A sec de toile signifie « toutes voiles amenées ».
Tourmentin : Petit foc très solide utilisé par gros temps seulement. Tout dessus Toutes voiles établies.
Trinquette : Le plus en arrière des focs.

U
U : pavillon du code international. Il représente la lettre U et signifie la présence d’un danger.

V
vent apparent: vent relatif. résultat de la vitesse du navire et du vent vrai.
vent debout: Quand le vent arrive face à l’étrave.
vent vrai: Direction réelle du vent.
violons de ris : poulies par lesquelles passent les bosses de ris pour ariser la voilure.
virer de bord : changer de cap, mais aussi le côté d’où vient le vent. manoeuvre s’effectuant en passant face au vent.
vit-de-mulet : pièce métallique fixant la bôme au mât.
Voilerie : Atelier de conception et fabrication de voiles nautiques.
VMG : référence permettant l’optimisation entre la vitesse d’un voilier suivant la direction du vent et la distance à parcourir.

W
Winch : treuil permettant de border des écoutes ou étarquer des drisses.
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Issued By leo
Business Address https://h-sails.com
Country France
Categories Education , Sports
Tags foc , gnois , grand voile , lazy bag , spi , voilerie , voiles
Last Updated April 1, 2020