Pourtant, en 2003, l'administration pénitentiaire avait fait le choix d'abandonner les brouilleurs de prison, testés à la prison de Fresnes, "pour des raisons de forme et de fond", comme le révélait Le Parisien.
Dans son petit atelier encombré d'appareils de toutes sortes, Todd Humphreys, directeur du Laboratoire de radionavigation de l'université du Texas, à Austin, montre à ses étudiants la vidéo d'une expérience récente.